MISSISSAUGA, Ontario--(BUSINESS WIRE)--Primerica, Inc. (NYSE: PRI), un important prestataire de services et de produits financiers auprès des familles de la classe moyenne en Amérique du Nord, a publié son tout dernier sondage, réalisé dans le cadre du Relevé de surveillance sur la sécurité financière, qui représente l’état d’esprit des familles de la classe moyenne à l’égard de leurs finances. Ce sondage met en évidence des préoccupations importantes concernant l’éducation financière et les perspectives économiques des Canadiens, en particulier dans un contexte d’inflation croissante.
Selon le sondage, plus des deux tiers (68 %) des familles estiment que leur scolarité ne les a pas suffisamment préparées à la gestion de leurs finances à l’âge adulte. Plus précisément, les familles déclarent majoritairement que l’école ne leur a pas bien enseigné les notions financières de base, notamment les conséquences des impôts sur leurs finances (85 %), la manière de contracter et de rembourser des emprunts (81 %), la planification de l’utilisation et du remboursement des emprunts étudiants (78 %) ou l’établissement d’un budget pour le ménage (77 %).
Le manque d’éducation financière pourrait expliquer pourquoi près des trois quarts (72 %) des Canadiens croient que l’accès à un professionnel de la finance devrait être universel. Cependant, moins de deux sur cinq (38 %) pensent pouvoir se le permettre.
« À une époque où bon nombre de Canadiens ressentent de l’incertitude face à l’inflation et à leur avenir financier, notre sondage met en lumière d’importantes lacunes en matière d’éducation et de préparation financières, ainsi que l’idée fausse selon laquelle les conseils financiers sont trop coûteux pour les familles de la classe moyenne », déclare le chef de la direction de Primerica Canada, John Adams. « Il y a longtemps que nous savons que ces ménages ont besoin d’aide, et nous poursuivons nos efforts afin que ce soutien soit abordable et permette aux Canadiens, quel que soit leur revenu, de se constituer une sécurité financière et de la préserver ».
Le sondage met également en lumière une opinion plus large concernant l’incertitude financière et les conditions économiques locales. En effet, alors qu’une majorité (65 %) déclare avoir une bonne opinion de ses finances personnelles, les trois quarts (75 %) des Canadiens de la classe moyenne estiment que la santé économique de leur province est médiocre. Le sondage montre également que les Canadiens restent très préoccupés par l’inflation (61 %) et leur santé physique (61 %), mais qu’ils s’inquiètent moins du coût trop élevé de la nourriture (39 %) et de la nécessité d’épargner en vue de leur retraite (36 %).
« Se sentant laissés pour compte en matière d’éducation et d’orientation financières, les Canadiens de la classe moyenne se tournent de plus en plus vers les compagnies d’assurance-vie et les personnes qui les représentent pour obtenir des conseils », explique le cofondateur et responsable de la recherche chez Golfdale Consulting, Gary Edwards (Ph. D.). « La confiance étant établie, il faut maintenant veiller à préserver l’accès aux conseils financiers, afin qu’ils soient à la portée de tous ceux qui en ont besoin. »
Résultats clés du Relevé de surveillance sur la sécurité financière au Canada de Primerica
- La plupart des gens affirment que l’éducation financière est insuffisante. Une grande majorité (68 %) des Canadiens de la classe moyenne estiment que leurs études ne les ont pas bien préparés à la gestion de leurs finances personnelles à l’âge adulte, ce qui témoigne d’importantes lacunes en matière d’éducation financière.
- Finances personnelles : considérées plus favorablement que le bilan économique provincial. Près des deux tiers (65 %) des Canadiens de la classe moyenne estiment que leurs finances personnelles sont bonnes ou excellentes, tandis que les trois quarts (75 %) considèrent que la santé économique de leur province est plutôt mauvaise ou insatisfaisante.
- Les familles sont plus nombreuses à épargner pour l’avenir. La majorité d’entre elles possèdent un compte d’épargne (72 %) ou un compte d’épargne autofinancé et libre d’impôt (58 %), ce qui représente une augmentation par rapport aux sondages précédents. De plus, près de la moitié (47 %) détient un compte de retraite enregistré et autofinancé.
- L’épargne pour les cas d’urgence est insuffisante. Plus d’un tiers (35 %) des Canadiens à revenu moyen n’ont pas de fonds d’urgence. Si ce chiffre est en légère progression par rapport aux années précédentes, il met également en évidence une vulnérabilité financière persistante.
- L’inflation et la santé au sommet de la liste des préoccupations. Selon l’enquête, l’inflation et les dépenses de santé, toutes deux à 61 %, sont les principales préoccupations des Canadiens de la classe moyenne. À cela s’ajoutent les difficultés financières liées au coût des produits alimentaires (39 %) et à la difficulté d’épargner en vue de la retraite (36 %).
- Les conseils financiers : une nécessité. La plupart des Canadiens de la classe moyenne (72 %) s’accordent pour dire que tout le monde devrait pouvoir consulter un professionnel de la finance. Cependant, moins de deux sur cinq (38 %) pensent pouvoir se le permettre.
À propos du Relevé de surveillance sur la sécurité financière au Canada de Primerica
Depuis 2020, le Relevé de surveillance sur la sécurité financière au Canada interroge les ménages de la classe moyenne du Canada afin d’obtenir une image claire de leur situation financière. À l’aide d’un échantillonnage dynamique en ligne, Change Research a interrogé 833 adultes dans tout le Canada, du 10 au 17 avril 2024. Des pondérations après stratification ont été effectuées pour le genre, l’âge et la province ou le territoire afin de représenter cette population adulte d’après le recensement canadien de 2016. Le sondage a été effectué en anglais et en français. La marge d’erreur est de +/-3,4 points de pourcentage.
À propos de Primerica, Inc.
Primerica est un important prestataire de produits et de services financiers pour les ménages de la classe moyenne en Amérique du Nord. Les représentants indépendants agréés enseignent à la clientèle de Primerica comment se préparer à un avenir financier plus sûr en évaluant leurs besoins et en leur proposant des solutions appropriées par l’entremise de l’assurance-vie temporaire, souscrite par Primerica, et de fonds communs de placement, rentes et autres produits financiers que Primerica distribue principalement pour le compte de tiers. Au 31 décembre 2023, la société assurait environ 5,7 millions de personnes et détenait environ 2,9 millions de comptes de placement de clients.[1] Primerica, par l’entremise de ses filiales dans le secteur de l’assurance, était le deuxième émetteur de couverture d’assurance-vie temporaire aux États-Unis et au Canada en 2023. L’action de Primerica fait partie des indices boursiers S&P MidCap 400 et Russell 1000 et se négocie à la Bourse de New York sous le symbole « PRI ».
1 Les chiffres reflètent les totaux combinés ou la moyenne journalière, comme indiqué ci-dessus, à partir de, ou pour l’année indiquée ci-dessus, pour les sociétés affiliées suivantes : Assurance-vie : National Benefit Life Insurance Company (siège social) : Long Island City, New York) dans l’État de New York; Primerica Life Insurance Company (bureau principal : Duluth, Géorgie) dans les autres juridictions des États-Unis, La Compagnie d’Assurance-Vie Primerica du Canada (siège social : Mississauga, Ontario) au Canada. Placements : Aux États-Unis, les produits en valeurs mobilières sont offerts par PFS Investments Inc. (PFSI), 1 Primerica Parkway, Duluth, Georgia 30099-0001; au Canada, les fonds communs de placement sont offerts par Les Placements PFSL du Canada Ltée, un courtier en fonds communs de placement, et les fonds distincts sont offerts par La Compagnie d’Assurance-Vie Primerica du Canada, dont le siège social est situé à Mississauga, en Ontario. Chaque société est responsable de ses propres obligations financières.