SASKATOON, Saskatchewan--(BUSINESS WIRE)--Cameco (TSX : CCO ; NYSE : CCJ) publie aujourd’hui ses résultats financiers et d'exploitation consolidés pour le premier trimestre clos le 31 mars 2023, conformément aux normes internationales d’information financière (IFRS).
« Nos résultats démontrent la force et la pertinence des décisions stratégiques que nous avons prises ces dernières années, ainsi que le soutien continu que nous voyons se développer pour l’énergie nucléaire dans le monde entier. En fait, je ne suis pas sûr qu’il y ait jamais eu un meilleur moment pour investir dans la demande croissante pour l'énergie nucléaire. Nous restons dans la position enviable de disposer ce que nous estimons être les meilleurs actifs au monde dans une région géopolitique stable, et alors que McArthur River et Key Lake continuent d’intensifier leur production pour atteindre les niveaux planifiés, nous retrouvons notre structure de coûts de premier plan », déclare Tim Gitzel, président et chef de la direction de Cameco.
« Le monde reconnaît les avantages de l’énergie nucléaire propre et l’outil essentiel qu’elle peut constituer dans la lutte contre le changement climatique et dans la sécurité énergétique. Par exemple, nous avons accueilli favorablement la déclaration conjointe de Ressources naturelles Canada et du département de l’Énergie des États-Unis à la fin du mois de mars, annonçant une collaboration accrue entre nos deux pays dans le but de diversifier la chaîne d’approvisionnement en combustible nucléaire. Cette mesure a répondu à la nécessité de travailler ensemble à l’échelle mondiale alors que le monde s'attèle à fournir une énergie sûre, propre, fiable, abordable et sécurisée. En outre, cinq des pays du G7, à savoir le Canada, les États-Unis, le Royaume-Uni, le Japon et la France, ont créé une alliance pour tirer parti de leurs secteurs nucléaires civils respectifs. Cet accord soutiendra l’approvisionnement stable en combustibles nucléaires, ainsi que les besoins en combustible nucléaire des futurs réacteurs avancés. Qu’il s’agisse d’améliorer le soutien public à l’énergie nucléaire, de prendre des décisions politiques en faveur du nucléaire ou de trouver des solutions fondées sur le marché, il existe de plus en plus de preuves pour promouvoir la croissance de la demande en énergie nucléaire et en uranium nécessaire à l’exploitation des réacteurs. Les fondamentaux positifs dont nous parlons depuis près d’une décennie ne sont plus seulement une vision à long terme, ils sont juste devant nous.
Compte tenu du risque accru en matière d'approvisionnement causé par les développements géopolitiques, les services publics continuent d’évaluer leurs chaînes d’approvisionnement en combustible nucléaire et cherchent à diversifier l’origine de leur approvisionnement. Nous constatons une concurrence accrue entre ces services publics pour obtenir des contrats à long terme pour les produits et services de l’uranium avec des producteurs éprouvés, qui opèrent dans des juridictions géopolitiquement stables et qui font preuve de solides performances environnementales, sociales et de gouvernance. Cameco cochent toutes ces cases. Notre récent succès en matière d’approvisionnement de nouveaux marchés en Europe de l’Est démontre clairement la volonté de nos clients de se diversifier. Ce sont des marchés où ne pouvions auparavant pas évoluer de manière compétitive. Grâce à ces accords, nous avons maintenant des engagements contractuels d’environ 215 millions de livres d’uranium et plus de 70 millions de kgU de services de conversion d'UF6 avec des livraisons s'étalant sur plus d’une décennie. Bon nombre de ces contrats contiennent des mécanismes de tarification liés au marché, ce qui nous permet d’être exposés à un marché en pleine amélioration. Nous disposons également d'un vaste et croissant portefeuille d’activités commerciales à l’étude. En conséquence, nous restons très sélectifs dans l’engagement de nos stocks souterrains non grevés de rang 1, et de notre capacité de conversion UF6 dans le cadre de contrats à long terme, ce qui nous permet de maintenir une plus grande exposition au marché.
« Nous pensons avoir la bonne stratégie pour concrétiser notre ambition de « fournir l'énergie d'un monde à l'air pur », et nous y parviendrons d'une manière qui reflétera nos valeurs. Chacune de nos décisions est empreinte d'un engagement à relever les enjeux environnementaux, sociaux et de gouvernance. Une telle approche rendra selon nous notre activité durable. »
- Transition vers une structure des coûts de premier plan — bénéfice net de 119 millions de dollars ; bénéfice net ajusté de 115 millions de dollars : les résultats du premier trimestre sont le fruit d’une hausse des livraisons et d’une hausse des prix moyens réalisés dans les segments uranium et des services d'approvisionnement en combustible, alors que nous poursuivons la transition vers notre structure de coûts de premier plan. Dans notre segment uranium, notre prix moyen réalisé était supérieur de 11 % par rapport à la même période l’an dernier, et dans notre segment services d'approvisionnement en combustible, les prix moyens réalisés étaient 9 % plus élevés. Comme prévu, avec 9,7 millions de livres livrées, le premier trimestre représente près d’un tiers des livraisons totales prévues en 2023 dans notre segment uranium, s’éloignant ainsi de la tendance observée dans un environnement à bas prix au moment où les livraisons ont été fortement pondérées au quatrième trimestre. Le bénéfice net ajusté est une mesure non IFRS, voir ci-dessous.
- Forte performance de production : dans notre segment uranium, nous avons produit 4,5 millions de livres (notre part) au cours du trimestre. Nous continuons d’anticiper 20,3 millions de livres de production en 2023 (notre part). L'intensification de la production à McArthur River/Key Lake progresse bien avec 3,4 millions de livres (2,4 millions de livres, notre part) produites au premier trimestre. Nous continuons à planifier notre production en fonction de notre portefeuille contractuel et des besoins de nos clients.
- Contrats à long terme — succès sur de nouveaux marchés : nous avons maintenant des volumes totaux sous contrats à long terme d’environ 215 millions de livres d’uranium et plus de 70 millions de kgU de services de conversion d'UF6 avec des livraisons s'étalant sur plus d’une décennie, dont beaucoup ont des mécanismes de tarification liés au marché. Nous continuons en outre de compter sur un nombre important et croissant de discussions contractuelles en cours. Les accords d’approvisionnement à long terme d'UF6 récemment annoncés nous permettront d’approvisionner de nouveaux marchés au cours de la prochaine décennie.
- Livraisons de JV Inkai : en avril, la deuxième expédition contenant 1,3 million de livres, représentant la majorité de notre part de la production restante d’Inkai en 2022, est arrivée dans un port canadien. Nous continuons à travailler en étroite collaboration avec JV Inkai et notre partenaire de coentreprise, Kazatomprom, pour continuer à recevoir notre part de production via le corridor de transport transcaspien, qui ne dépend pas des lignes ferroviaires ou des ports russes. Dans le cas où cela prendrait plus de temps que prévu d'utiliser cet axe d’expédition, nous pourrions connaître des retards dans nos livraisons prévues d'Inkai cette année. Dans l'optique d'atténuer ce risque, nous disposons d'accords d'achat de stock à long terme et d'accords de prêt sur lesquels nous pouvons compter. En fonction du moment où nous recevrons l’expédition de notre part de la production 2023 d’Inkai, notre part des bénéfices 2023 de cette entité mise en équivalence et la date de réception de notre part de dividendes de la coentreprise peuvent être affectées. Voir les Mises à jour relatives à l'uranium pour le T1 2023 dans notre rapport de gestion du premier trimestre.
- Perspectives 2023 mises à jour : nous avons mis à jour nos perspectives concernant le chiffre d’affaires consolidé, le chiffre d’affaires de l’uranium, le prix moyen réalisé et le coût unitaire moyen des ventes. Consultez les Perspectives pour 2023 dans notre rapport de gestion du premier trimestre.
- Solide bilan comptable : au 31 mars 2022, nous disposions de 2,5 milliards de dollars en trésorerie et équivalents de trésorerie et en investissements à court terme, et 1,0 milliard de dollars en dettes à long terme. Le financement final de l’acquisition de Westinghouse sera déterminé en fonction de notre solde de trésorerie, de notre future création de flux de trésorerie et des conditions du marché au moment de la clôture. Nous anticipons un financement combiné permanent de sources de capitaux, y compris la trésorerie, la dette et les capitaux propres, conçu pour préserver la solidité de notre bilan et de nos notations, tout en maintenant une bonne liquidité. De plus, nous disposons d'une facilité de crédit non utilisée d'un milliard de dollars.
- Litige fiscal avec l’Agence du revenu du Canada (ARC) : le 27 mars 2023, nous avons annoncé que l’ARC avait émis des nouvelles cotisations révisées pour les années d’imposition 2007 à 2013 qui, selon elle, donneraient lieu à un remboursement d’environ 300 millions de dollars des 780 millions de dollars en espèces et lettres de crédit détenues par l’ARC. L’ARC a indiqué que le remboursement consisterait en 89 millions de dollars en espèces et le remboursement de 211 millions de dollars en lettres de crédit. Toutefois, à la suite de la réception d’une trésorerie d’un montant de 86 millions de dollars le 12 avril 2023, l’ARC nous a informé que son calcul précédent de 89 millions de dollars était incorrect. Nous continuons de prévoir ce que le remboursement total des lettres de crédit soit 211 millions de dollars, ce qui, s’il était reçu et si les calculs de l’ARC étaient corrects, porterait le remboursement total à 297 millions de dollars. La date de la réception des lettres de crédit n’est pas encore déterminée.
- Dividendes reçus de JV Inkai en avril : au 26 avril, nous avions reçu les paiements de dividende de JV Inkai pour un total de 79 millions USD. JV Inkai distribue un excédent de trésorerie, net d'obligations de fonds de roulement, à ses partenaires sous forme de dividendes.
Résultats financiers consolidés
|
TRIMESTRE CLOS |
|
||||
POINTS SAILLANTS |
AU 31 MARS |
|
||||
(EN MILLIONS DE DOLLARS, SAUF MENTION CONTRAIRE) |
2023 |
2022 |
VARIATION |
|||
Chiffre d'affaires |
687 |
398 |
73 % |
|||
Marge brute |
167 |
50 |
>100 % |
|||
Bénéfice net attribuable aux actionnaires |
119 |
40 |
>100 % |
|||
$ par action ordinaire (résultat de base) |
0,27 |
0,10 |
>100 % |
|||
$ par action ordinaire (après dilution) |
0,27 |
0,10 |
>100 % |
|||
Bénéfice net ajusté (non IFRS, voir ci-dessous) |
115 |
17 |
>100 % |
|||
$ par action ordinaire (résultat ajusté et après dilution) |
0,27 |
0,04 |
>100 % |
|||
Encaisse issue des activités (après variations de fonds de roulement) |
215 |
172 |
25 % |
Les informations financières présentées pour les trimestres clos aux 31 mars 2022 et 31 mars 2023 ne sont pas vérifiées.
BÉNÉFICE NET
Le tableau ci-dessous montre ce qui a contribué à l'évolution du bénéfice net et du bénéfice net ajusté (mesure non IFRS, voir ci-dessous) pour le premier trimestre 2023, comparé à la même période en 2022.
|
|
TRIMESTRE CLOS |
|
|
|
AU 31 MARS |
|
(MILLIONS $) |
IFRS |
AJUSTÉ |
|
Bénéfice net – 2022 |
40 |
17 |
|
Variation du bénéfice brut par segment |
|
|
|
(nous calculons le bénéfice brut en déduisant du revenu le coût des produits et services vendus ainsi que la dépréciation et les amortissements) |
|||
Uranium |
Impact des variations du volume de ventes |
16 |
16 |
|
Hausse des prix réalisés (USD) |
24 |
24 |
|
Impact du taux de change sur les prix réalisés |
34 |
34 |
|
Baisse des coûts |
40 |
40 |
|
Variation – uranium |
114 |
114 |
Services d'approvisionnement en combustible |
Impact des variations du volume de ventes |
3 |
3 |
|
Hausse des prix réalisés (CAD) |
8 |
8 |
|
Hausse des coûts |
(6) |
(6) |
|
Variation – services d'approvisionnement en combustible |
5 |
5 |
Autre variations |
|
|
|
Hausse des dépenses d'administration |
(6) |
(6) |
|
Hausse des frais d'exploration |
(3) |
(3) |
|
Provision de remise en état |
(18) |
(1) |
|
Hausse du bénéfice provenant d'entités mises en équivalence |
14 |
14 |
|
Variation de bénéfice ou de perte sur produits dérivés |
(8) |
(3) |
|
Variation de bénéfice ou de perte de taux de change |
2 |
2 |
|
Hausse des revenus financiers |
26 |
26 |
|
Variation de recouvrement ou charge d'impôts sur les bénéfices |
(37) |
(40) |
|
Autres |
(10) |
(10) |
|
Bénéfice net – 2023 |
119 |
115 |
Mesures non IFRS
BÉNÉFICE NET AJUSTÉ
Le bénéfice net ajusté est une mesure qui ne présente pas de signification normalisée ou de base de calcul cohérente selon les normes IFRS (mesure non-IFRS). Nous utilisons cette mesure comme un moyen plus utile de comparer notre rendement financier d'une période à l'autre. Le bénéfice net ajusté est notre bénéfice net attribuable aux actionnaires, ajusté pour mieux refléter la performance financière sous-jacente pour la période considérée. Nous estimons que, en plus des mesures classiques préparées conformément aux normes IFRS, certains investisseurs utilisent ces renseignements pour évaluer notre performance. Le bénéfice net ajusté est un des objectifs que nous mesurons pour servir de base à une partie de la rémunération annuelle des employés et des dirigeants (voir Mesures de nos résultats dans notre rapport de gestion 2022).
Nous prenons en compte les instruments dérivés dans le calcul du bénéfice net ajusté. Nous n'utilisons pas la comptabilité de couverture dans le cadre des normes IFRS. Nous devons donc déclarer les bénéfices et les pertes pour chaque activité de couverture, aussi bien pour les contrats se terminant durant la période que pour ceux étant en cours à la fin de la période. Pour les contrats qui restent en cours, nous devons les traiter comme s'ils étaient terminés à la fin de la période considérée (valeur de marché). Nous n'estimons toutefois pas que les bénéfices et les pertes que nous devons déclarer dans le cadre des IFRS reflètent correctement l'intention de nos activités de couverture. Nous apportons donc des ajustements au moment de calculer notre bénéfice net ajusté afin de mieux refléter l'impact de notre programme de couverture pour la période considérée. Pour plus d'informations, consultez la section Opérations de change dans notre rapport de gestion 2022.
Nous prenons également en compte les ajustements de nos provisions de remise en état, qui sont directement comptabilisés dans le bénéfice. Chaque trimestre, nous devons mettre à jour les provisions pour remise en état de toutes les opérations en fonction des nouvelles estimations des flux de trésorerie, des taux d'actualisation et des taux d'inflation. Cela se traduit normalement par un ajustement de l'actif de l'obligation de mise hors service d'immobilisations en plus du solde de la provision. Lorsque les actifs d'une opération ont été radiés en raison d'une dépréciation, comme c'est le cas pour nos activités de Rabbit Lake et des ISR aux États-Unis, l'ajustement est comptabilisé directement dans le compte de résultat comme « autres charges (produits) d'exploitation ». Voir la note 9 de nos états financiers intermédiaires pour plus d'informations. Ce montant a été exclu de notre mesure du bénéfice net ajusté.
Le bénéfice net ajusté est une mesure financière non IFRS et ne doit pas être considéré de façon isolée et ne doit pas remplacer l'information financière préparée selon les normes comptables. D'autres sociétés peuvent calculer cette mesure différemment et il se peut donc que vous ne puissiez pas effectuer une comparaison directe avec des mesures similaires présentées par ces sociétés.
Le tableau ci-dessous rapproche le bénéfice net ajusté du bénéfice net pour le premier trimestre, et le compare à la même période en 2022.
|
TRIMESTRE CLOS |
|||
|
AU 31 MARS |
|||
(MILLIONS $) |
2023 |
2022 |
||
Bénéfice net attribuable aux actionnaires |
119 |
40 |
||
Ajustements |
|
|
||
Ajustements sur les produits dérivés |
(6) |
(11) |
||
Ajustements sur autre revenu d'exploitation |
(2) |
(19) |
||
Impôt sur le revenu sur les ajustements |
4 |
7 |
||
Bénéfice net ajusté |
115 |
17 |
Faits saillants de certains segments
|
|
|
TRIMESTRE CLOS |
|
||||
|
|
|
AU 31 MARS |
|
||||
FAITS SAILLANTS |
2023 |
2022 |
VARIATION |
|||||
Uranium |
Volume de production (millions lb) |
|
4,5 |
1,9 |
>100 % |
|||
|
Volume des ventes (millions lb) |
|
9,7 |
5,9 |
64 % |
|||
|
Prix réalisé moyen1 |
(USD/lb) |
45,14 |
43,24 |
4 % |
|||
|
|
(CAD/lb) |
60,98 |
55,05 |
11 % |
|||
|
Chiffre d'affaires (millions $) |
|
594 |
322 |
84 % |
|||
|
Marge brute (millions $) |
|
138 |
24 |
>100 % |
|||
Services d'approvisionnement en combustible |
Production volume (million kgU) |
|
4,1 |
4,1 |
- |
|||
|
Volume de production (million kgU) |
|
2,5 |
2,2 |
14% |
|||
|
Prix réalisé moyen 2 |
(CAD/kgU) |
37,66 |
34,49 |
9% |
|||
|
Chiffre d'affaires (millions $) |
|
92 |
76 |
21% |
|||
|
Marge brute (millions $) |
|
31 |
26 |
19% |
1 Le prix réalisé moyen de l'uranium est calculé comme le revenu des ventes de concentré d'uranium, frais de transport et de stockage, divisé par le volume de concentrés d'uranium vendus. |
2 Le prix réalisé moyen des services de combustible est calculé comme le revenu de la vente de services de conversion et de fabrication, y compris les grappes de combustible et les composants de réacteur, frais de transport et de stockage, divisé par les volumes vendus. |
Rapport de gestion et états financiers
Le rapport de gestion et les états financiers intermédiaires consolidés condensés non vérifiés du premier trimestre fournissent une explication détaillée de nos résultats d'exploitation pour le trimestre clos au 31 mars 2023, par rapport à la même période de l'exercice précédent. Ce communiqué de presse doit être lu conjointement avec ces documents, ainsi qu'avec nos états financiers consolidés vérifiés et nos notes pour l'exercice clos au 31 décembre 2022, notre rapport de gestion annuel, et notre plus récente notice annuelle, des documents qui sont tous disponibles sur notre site cameco.com, sur SEDAR à l'adresse sedar.com, et sur EDGAR à l'adresse sec.gov/edgar.shtml.
Personnes compétentes
Les informations techniques et scientifiques présentées dans ce document pour nos sites McArthur River/Key Lake, Cigar Lake et Inkai ont été approuvées par des personnes compétentes aux fins du Règlement 43-101 :
MCARTHUR RIVER/KEY LAKE
- Greg Murdock, directeur général, McArthur River, Cameco
- Daley McIntyre, directrice générale, Key Lake, Cameco
CIGAR LAKE
- Lloyd Rowson, directeur général, Cigar Lake, Cameco
INKAI
- Sergey Ivanov, directeur général adjoint, services techniques, Cameco Kazakhstan LLP
Avertissement concernant les énoncés prospectifs
Ce communiqué de presse inclut des déclarations et des renseignements sur nos attentes pour le futur qui sont considérés être des énoncés prospectifs. Ces informations prospectives représentent notre point de vue actuel et peuvent changer considérablement, et les résultats réels peuvent différer sensiblement de ceux que nous prévoyons à l'heure actuelle. Voici des exemples d'informations prospectives contenues dans ce communiqué de presse : notre point de vue sur l’énergie nucléaire, son profil de croissance et ses avantages, y compris la lutte contre le changement climatique et la sécurité énergétique ; notre point de vue sur notre structure de coûts de premier plan et l’impact de l'intensification de la production de McArthur River/Key Lake sur celle-ci ; notre point de vue sur la demande et l’offre en uranium, y compris l’impact des événements géopolitiques sur l’industrie nucléaire ; le fait que nous avons un nombre important et croissant de discussions contractuelles en cours ; notre stratégie de passation de marchés et notre capacité à maintenir une exposition accrue au marché ; notre vision de fournir l'énergie d'un monde à l'air pur et notre conviction que notre stratégie nous permettra d'y parvenir d’une manière reflétant nos valeurs ; notre point de vue sur la durabilité à long terme de nos activités ; notre point de vue sur notre niveau de production d’uranium en 2023 et l'intensification de la production de McArthur River/Key Lake ; le fait que nous continuons à planifier notre production afin de s’aligner sur notre portefeuille contractuel et les besoins des clients ; le que nous avons mis en place des stocks, des accords d’achat à long terme et des accords de prêt sur lesquels nous pouvons nous appuyer pour atténuer le risque de retard dans les livraisons d’Inkai prévues en 2023; le fait nous nous attendons au remboursement de 211 millions de dollars en lettres de crédit de l’ARC ; et la date prévue pour l’annonce de nos résultats du deuxième trimestre 2023.
Les risques importants qui pourraient entraîner un résultat différent incluent : des changements inattendus dans l'approvisionnement, la demande, les contrats à long terme et les prix de l'uranium ; des changements dans la demande des consommateurs pour l'énergie nucléaire et l'uranium en raison d'une évolution sociétale et des objectifs liés à l'énergie nucléaire, à l'électrification et à la décarbonisation ; le risque que nos points de vue sur l’énergie nucléaire, son profil de croissance et ses avantages puissent s’avérer erronés ; le risque que nous ne soyons pas en mesure d’atteindre les niveaux de production prévus pour Cigar Lake et McArthur River/Key Lake dans les délais prévus, ou que les coûts que cela implique dépassent nos attentes ; le risque que les niveaux de production à Inkai ne soient pas aux niveaux attendus ou que le site ne soit pas en mesure de livrer sa production ; la possibilité que nous ne recevions pas le montant total ou une partie du remboursement prévu des lettres de crédit de l’ARC ou que le remboursement ne soit pas effectué dans un délai raisonnable ; le risque que nous ne soyons pas en mesure de respecter les engagements de vente pour quelque raison que ce soit ; les risques pour notre entreprise liés aux perturbations potentielles de la production, y compris ceux liés aux perturbations de la chaîne d’approvisionnement mondiale, à l’incertitude économique mondiale, à la volatilité politique, aux questions de relations de travail et aux risques opérationnels ; le risque que nous ne soyons pas en mesure de mettre en œuvre nos objectifs commerciaux d’une manière compatible avec nos valeurs environnementales, sociales, de gouvernance et autres ; le risque que la stratégie que nous menons puisse s’avérer infructueuse, ou que nous ne soyons pas en mesure de l’exécuter avec succès ; et le risque que nous soyons retardés dans l’annonce de nos résultats financiers futurs.
Dans la présentation des informations prospectives, nous avons formulé des hypothèses importantes qui pourraient s'avérer erronées : la demande d’uranium, l’offre, la consommation, les contrats à long terme, la croissance de la demande et l’acceptation par le public mondial de l’énergie nucléaire, et les prix ; notre production, nos achats, nos ventes, nos livraisons et nos coûts ; les conditions du marché et d’autres facteurs sur lesquels nous avons fondé nos plans et prévisions futurs ; nos discussions sur les projets contractuels ; notre capacité à atténuer les conséquences négatives des retards dans l’expédition de notre part de production d’Inkai ; paiement du remboursement intégral attendu des lettres de crédit de l’ARC ; le succès de nos plans et stratégies, y compris la production planifiée ; l’absence de règlements, de politiques ou de décisions gouvernementales nouveaux et défavorables ; le fait qu’il n’y aura pas de conséquences négatives significatives pour notre activité résultant de perturbations de la production, y compris celles liées aux perturbations de l’approvisionnement, à l’incertitude et à la volatilité économiques ou politiques, aux problèmes liés aux relations de travail et aux risques opérationnels ; et notre capacité à annoncer les résultats financiers futurs conformément au calendrier.
Veuillez également vous référer à la discussion dans notre rapport de gestion 2022 et à notre plus récente notice annuelle pour connaître les autres risques importants susceptibles de provoquer un écart substantiel entre les résultats réels et nos attentes actuelles, ainsi que d'autres hypothèses importantes que nous avons formulées. Les informations prospectives sont conçues pour vous aider à comprendre le point de vue actuel de la direction sur nos perspectives à court et long terme et peuvent ne pas convenir à d'autres fins. Nous ne mettrons pas nécessairement ces informations à jour à moins que les lois sur les valeurs mobilières ne l'imposent.
Téléconférence
Nous vous invitons à participer à notre téléconférence relative au premier trimestre le vendredi 28 avril 2023, à 8h00, heure de l'Est.
La téléconférence pourra être suivie par tous les investisseurs et membres de presse. Pour y participer, veuillez composer le (800) 319-4610 (Canada et États-Unis) ou le (604) 638-5340. Un opérateur connectera votre appel. Les vignettes et une webdiffusion en direct de la téléconférence seront accessibles via un lien fourni sur cameco.com. Vous trouverez ce lien sur notre page d'accueil le jour de la téléconférence.
Un enregistrement sera disponible
- sur notre site web, cameco.com, peu après la fin de la téléconférence
- jusqu'au 28 mai 2023 à minuit, heure de l'Est, en composant le (800) 319-6413 (Canada et États-Unis) ou le (604) 638-9010 (code 9912)
Date de publication du rapport pour le deuxième trimestre 2023
Nous prévoyons d'annoncer les résultats de notre deuxième trimestre 2023 avant l'ouverture des marchés le 2 août 2023.
Profil
Cameco est l'un des plus grands fournisseurs mondiaux de combustible d'uranium nécessaire pour fournir l'énergie d'un monde à l'air pur. Notre position concurrentielle se base sur le fait que nous détenons le contrôle des plus grandes réserves à haute teneur au monde, avec des opérations à faible coût. Les services publics du monde entier comptent sur nos produits de combustible nucléaire pour produire de l'électricité sûre, fiable et décarbonée. Nos actions sont négociées à la bourse de Toronto et à la bourse de New York. Notre siège social est situé à Saskatoon, dans la Saskatchewan.
Tels qu'utilisés dans ce communiqué de presse, les termes « nous », « notre », « nos », « Société » et « Cameco » désignent Cameco Corporation et ses filiales, sauf mention contraire.
Le texte du communiqué issu d’une traduction ne doit d’aucune manière être considéré comme officiel. La seule version du communiqué qui fasse foi est celle du communiqué dans sa langue d’origine. La traduction devra toujours être confrontée au texte source, qui fera jurisprudence.